Alcoolisme et le syndrome de Korsakoff

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« Sergueï Korsakoff. A la fin du 19e siècle, ce neuropsychiatre russe est le premier à décrire la désorganisation de la mémoire liée au syndrome qui portera son nom. C’est la forme terminale, le plus sévère des troubles cognitifs rencontrée dans l’alcoolisme chronique. Le syndrome de Korsakoff se manifeste par des troubles de la mémoire avec une amnésie dite antérograde, caractérisée par l’impossibilité de former de nouveaux souvenirs. Le malade oublie au fur et à mesure ce qu’on vient de lui dire ou ce qu’il a fait quelques instants plus tôt. Il s’y associe des troubles de l’orientation dans le temps et dans l’espace avec souvent des fausses reconnaissances de personnes et une fabulation, récits fantastiques fruits de l’imagination du patient. Le malade est totalement inconscient de son trouble, garde des capacités de raisonnement et de jugement et la mémoire des faits anciens.
Si vous voyez dans votre entourage quelqu’un présentant ces signes, ne l’agressez pas verbalement. L’alcoolisme est une maladie qui tue, il faut l’aider et l’entourer. Faites attention, face à la vérité certains alcooliques peuvent devenir violent physiquement ». (Charlie)

Kétamine, bonne mine ?

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« La Kétamine, un anesthésique, analgésique, sédatif, dérivé en drogue.
Au final, beaucoup de choses sont une drogue. Si je me drogue parfois, toi qui ne prend pas de drogue est peut-être plus drogué que moi : le sucre, les fast-foods, le gras, la télé, les écrans en général, l’alcool. Tout ce qui peut être addictif est considéré comme une drogue.
Ne me regarde pas de travers sans connaître, sans me connaître. De bonnes personnes m’ont expliqué et de mauvaises m’ont montré l’exemple à ne surtout pas suivre. J’ai même aidé de bonnes personnes tombées dans le piège à s’en sortir, ce qui m’a encore plus montré le chemin à ne surtout pas suivre.
Je suis moi. J’ai un travail, un toit, une famille, un chéri, des amis. Je fais du sport et prends soin de moi. Je ne bois pas l’alcool que tu bois en soirée et n’ai pas ta gueule de bois le lendemain.
Je n’en consomme pas tous les jours ni même tous les week-ends, mais oui parfois je consomme de la Kétamine, à titre festif, récréatif, en soirée. Mais moi qui consomme parfois de la kétamine, je sais profiter d’une soirée même SANS ! Peux-tu dire la même chose toi qui boit de l’alcool et qui ne peut pas te passer d’un verre pour profiter vraiment de ta soirée ? Ou qui ne peut pas te passer de ton émission télé le soir en rentrant du boulot ?
Si tu me penses droguée ou toxico, alors je te considère de la même façon. Chaque chose qui peut être addictif est considérée comme une drogue. Je ne suis pas addict à la Kétamine. Comme je l’espère, que toi non plus tu ne sois pas addict à je ne sais quelle drogue : dure, mentale, physique, alimentaire, technologique… » (Mélanie)

La fast fashion tue

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« La fast fashion tue.
La surconsommation tue.
L’inaction politique tue.
Et on se noie dans ce bordel…
La fast fashion est synonyme de production de masse, de conditions de travail inhumaines, d’impact environnement considérable et d’une mode éphémère qui encourage la surconsommation et le gaspillage.
L’industrie de la fast fashion a modifié notre manière de consommer la mode : on se débarrasse de 4 millions de tonnes de textile en France par an. Elle crée une culture de surconsommation où les vêtements sont considérés comme jetables et où les gens achètent souvent plus qu’ils n’ont besoin, simplement parce que les prix sont bas ».
(Julie).